Devenir poseur de panneaux solaires en France : formation, salaire, débouchés 2025

Introduction : Installateur photovoltaïque

Le métier de poseur de panneaux solaires connaît un essor sans précédent en France. Avec l’accélération de la transition énergétique et les objectifs gouvernementaux ambitieux de production solaire, les installateurs photovoltaïques figurent parmi les profils les plus recherchés du secteur du bâtiment en 2025.

Mais comment accéder à ce métier ? Quelle formation suivre ? Quels salaires espérer ? Quelles sont les véritables perspectives d’évolution de carrière ?

Ce guide complet vous détaille tout ce qu’il faut savoir pour devenir poseur de panneaux solaires en France en 2025 : missions quotidiennes, formations disponibles, rémunérations réalistes, débouchés concrets et conseils pratiques pour vous lancer.

Qu’est-ce qu’un poseur de panneaux solaires ou installateur photovoltaïque ?

Définition du métier

Le poseur de panneaux solaires, également appelé installateur photovoltaïque ou monteur solaire, est un professionnel du bâtiment spécialisé dans l’installation de systèmes de production d’énergie solaire photovoltaïque.

Son rôle principal : poser des panneaux photovoltaïques sur toitures, façades ou au sol, puis les raccorder au réseau électrique du bâtiment. C’est un métier technique, physique, avec une forte responsabilité (sécurité électrique, travail en hauteur).

Missions quotidiennes du poseur/installateur photovoltaïque/technicien solaire

Les tâches varient selon le type d’installation et l’expérience, mais incluent généralement :

• Préparation du chantier : visite client, étude technique, vérification structures toiture, sécurisation zone travail (harnais, barrières)
• Pose des panneaux photovoltaïques : fixation structure métallique (rails), pose modules solaires (20-25 kg chacun)
• Câblage électrique : raccordement panneaux en chaîne (courant continu), pose câbles DC verso onduleur, installation onduleur central ou micro-onduleurs
• Raccordement réseau : branchement onduleur au tableau électrique bâtiment, raccordement au réseau public (selon capacité)
• Mise en service : tests fonctionnement, mesure tension/courant, configuration onduleur, paramétrage monitoring
• Maintenance préventive : nettoyage modules (selon besoin), inspection câbles/connexions, dépannage dysfonctionnements

Environnement de travail

Le poseur travaille principalement en extérieur sur des toitures résidentielles (maisons individuelles 1-10 kWc), commerciales (entrepôts, bureaux 10-100 kWc) ou au sol (centrales solaires, parkings 100+ kWc).

Le métier implique :

• Travail en hauteur (5-15 mètres selon bâtiment)
• Par tous les temps (été comme hiver, pluie rare)
• Horaires réguliers (7h00-17h00 généralement)
• Semaine standard 35-39h selon entreprise

Quelle formation pour devenir un installateur photovoltaïque ?

Plusieurs voies permettent d’accéder au métier d’installateur solaire, de la formation courte professionnelle au diplôme de niveau Bac. Voici les options principales et leurs caractéristiques.

CQP Installateur Mainteneur Systèmes Solaires (RECOMMANDÉ)

Durée et public

Durée : 5 à 9 mois selon organismes

Public cible : Adultes en reconversion, demandeurs d’emploi, salariés en transition

Contenu pédagogique

La formation combine théorie et pratique intensive :

• Électricité générale (40 heures) : courant continu/alternatif, circuits électriques, lois électricité, sécurité électrique
• Technologie photovoltaïque (50 heures) : cellules solaires, modules PV, onduleurs centraux vs micro-onduleurs, batteries lithium/plomb, système monitoring
• Dimensionnement installations (30 heures) : calcul kWc, orientation/inclinaison toiture, rendement modules, perte ombrage, études gisement solaire
• Réglementation et normes (30 heures) : NF EN 61730 (sécurité modules), NFC 15-100 (électricité bâtiment), normes toiture, assurance RC
• Pose panneaux (100 heures atelier) : installation toitures inclinées (tuiles, ardoise, bac acier), toitures plates (béton, graviers), intégration au bâti (BIPV), systèmes fixation, outils/équipement
• Câblage électrique (80 heures atelier) : pose câbles DC, connexions MC4, mise en place onduleur, raccordement AC, tableau électrique
• Sécurité travail en hauteur (20 heures) : harnais, lignes de vie, prévention chutes, procédures sécurité toiture
• Stage entreprise (8-12 semaines) : installations réelles chez clients, missions quotidiennes, apprentissage terrain

Organismes et sessions

Disponible auprès de :

• AFPA (centres régionaux)
• GRETA (Education Nationale)
• CFA Bâtiment (apprentissage adulte)

Sessions typiques : mars, avril, septembre (consulter organismes pour disponibilités 2025-2026)

Financement

• Demandeurs d’emploi : AIF (Aide Individuelle Formation) via France Travail – formation gratuite
• Salariés : CPF (Compte Personnel Formation)
• Dispositif POEI/POEC : formation financée + entreprise partenaire GARANTIT embauche post-formation (bonus subvention État = -3 000 à -5 000€ coût entreprise)

Avantages

✅ Formation courte (accès rapide emploi vs Bac Pro 2-3 ans)
✅ 100% spécialisée photovoltaïque (pas généraliste climatique)
✅ Taux de placement excellent (92-95% CDI dans 2-4 semaines)
✅ Adaptée aux reconversions professionnelles (format adulte, pas lycée)
✅ Reconnaissance État (CQP = certificat officiel)

Inconvénients

⚠️ Formation intensive (35-40h/semaine fatigue mentale)
⚠️ Stage fin de formation = pression évaluation
⚠️ Peu de débouchés pour niveaux intermédiaires (CQP ou CDI, pas 20h/semaine)

Bac Pro TIEC (Technicien Installation Systèmes Énergétiques Climatiques)

Caractéristiques

Durée : 2-3 ans selon formation (initial ou apprentissage)

Public : Jeunes post-3ème (14-20 ans généralement), apprentissage possible

Niveau : Diplôme Bac (niveau 4)

Contenu : 70% génie climatique (chauffage, climatisation, ventilation) + 30% photovoltaïque solaire

Avantages

✅ Diplôme Bac reconnu État
✅ Polyvalence (climat + solaire = polyvalent recrutement)
✅ Évolution de carrière facilitée (escalade salaires + postes)
✅ Salaire légèrement supérieur moyen terme

Inconvénients

❌ Très long (2-3 ans) vs CQP (5-9 mois)
❌ Moins spécialisé solaire pour (30% du cursus = pas approfondi)
❌ Peu adapté reconversion adulte 30-50 ans
❌ Généraliste = moins spécifique que CQP dédié

Verdict pour reconversion

Non recommandé si votre objectif est de trouver rapidement un emploi. Dans ce cas là, optez plutôt pour le CQP.

BP Monteur Installation Génie Climatique

Caractéristiques

Durée : 2 ans apprentissage

Public : Jeunes post-CAP, salariés évolution (rare)

Niveau : Diplôme Bac (niveau 4)

Contenu : Installation systèmes climatisation, chauffage central, solaire thermique/photovoltaïque

Avantages

✅ Diplôme Bac reconnu
✅ Polyvalence intéressante

Inconvénients

❌ Long (2 ans)
❌ Très généraliste (peu de profondeur en ce qui concerne le photovoltaïque)
❌ Concurrence forts avec CQP spécialisé

Verdict

Non recommandé. Le CQP solaire surpasse ce diplôme sur tous les critères pour installation PV.

Quel salaire pour un poseur de panneaux solaires en France ?

Les salaires varient selon l’expérience, la région (Île-de-France vs province), la taille entreprise, et les primes éventuelles (déplacements, panier repas, heures supplémentaires).

Salaire débutant (0-2 ans expérience)

Profil : CQP récent, premier emploi, supervision requise

	Montant net mensuel	Brut annuel
Bas (petite PME)	1 800€	22 000€
Moyen (PME standard)	2 000€	24 500€
Haut (groupe/Île-de-France)	2 200€	26 500€

Détail :

• Salaire base 1 700-2 100€ net
• Primes : panier 50-200€, déplacements 50-150€, ancienneté 0€ (trop junior)

Salaire confirmé (3-5 ans expérience)

Profil : Autonomie complète, peut former juniors, chef équipe potentiel

	Montant net mensuel	Brut annuel
Bas (PME)	2 200€	27 000€
Moyen	2 500€	30 500€
Haut (groupe)	2 800€	34 000€

Détail :

• Salaire base 2 100-2 700€ net
• Primes : panier 50-200€, heures supplémentaires 100-300€, prime ancienneté 50-100€

Salaire senior / chef d’équipe (5-10 ans expérience)

Profil : Gestion équipe 2-5 poseurs, coordination chantiers multiples, relation client

	Montant net mensuel	Brut annuel
Standard (PME/groupe)	2 800-3 200€	34 000-39 000€
Haut (groupe Île-de-France)	3 200-3 500€	39 000-42 000€

Détail :

• Salaire base 2 600-3 300€ net
• Primes : management équipe 100-300€, bonus performance 100-500€, ancienneté 100-200€

Variations régionales

Île-de-France : +5-10% que la moyenne en France
Provence/Côte-d’Azur : +3-5% (plus d’ensoleillement = plus chantiers)
Province (Alsace, Bourgogne, etc.) : -5% vs moyenne

Tableau récapitulatif global

Expérience	Salaire net/mois	Brut/an	Profil
Débutant (0-2 ans)	1 800 – 2 200€	22 000 – 26 500€	CQP récent, supervision
Confirmé (3-5 ans)	2 200 – 2 800€	27 000 – 34 000€	Autonome, formation juniors
Senior (5-10 ans)	2 800 – 3 500€	34 000 – 42 000€	Chef équipe, relation client

Débouchés et perspectives d’emploi en France

Un secteur en forte croissance

Le marché solaire français connaît une expansion rapide, portée par les objectifs gouvernementaux de transition énergétique ambitieux.

Selon l’Ademe (Agence transition écologique), les installations photovoltaïques devraient connaître une croissance de +40% entre 2024 et 2030, passant de ~13 GW actuels à ~18-20 GW installés.

Chiffres d’emploi clés

• +10 000 installateurs/an recherchés en France (toutes niches : résidentiel, commercial, sol)
• Taux de chômage secteur : quasi nul (inférieur 2% vs 8% moyenne nationale)
• Taux de CDI post-formation : 90-95% des CQP
• Délai moyen embauche : 2-4 semaines après certification
• Rétention emploi : excellent (peu exposé au turnover, métier stable)

Types d’employeurs

PME locales (60% du marché)

• Artisans électriciens diversifiant activité
• Petites structures 2-10 salariés
• Salaires : 1 800-2 500€ débutant
• Avantage : stabilité, proximité, potentiel création d’entreprise dans le futur

Entreprises spécialisées solaire (30%)

• Installateurs 100% photovoltaïque
• Structures 10-50 salariés
• Salaires : 2 000-2 800€ débutant
• Avantage : expertise pure, formations internes, progression claire

Grands groupes énergétiques (10%)

• EDF ENR, Engie, TotalEnergies, groupes régionaux
• Structures 50-500+ salariés
• Salaires : 2 200-2 800€ débutant (vs PME)
• Avantage : stabilité, avantages sociaux, rémunération garantie

Auto-entrepreneuriat (possible après 5+ ans)

• Création micro-entreprise + 2-3 équipe poseurs
• Revenus : 4 000-8 000€/mois selon activité
• Risque : démarrage difficile (besoin capital initial, réseau client)

Évolution de carrière typique

Année 1-3 : Poseur junior

• Pose panneaux sous supervision
• Autonomie croissante (3-6 mois)
• Salaire : 1 800-2 200€ net
• Missions : 3-5 chantiers/mois

↓

Année 3-5 : Poseur confirmé / Chef équipe junior

• Autonomie complète installations
• Formation juniors (1-2 poseurs)
• Salaire : 2 300-2 800€ net (+500-600€)
• Missions : 4-6 chantiers/mois, gestion légère équipe

↓

Année 5-8 : Chef d’équipe

• Gestion équipe 2-5 poseurs
• Coordination chantiers multiples
• Relation client direct (appels, devis)
• Salaire : 2 800-3 500€ net (+700-1 200€ vs débutant)
• Responsabilité accrue (timing, qualité, sécurité)

↓

Année 8-10+ : Technico-commercial

• Prospection clients (80% temps)
• Études techniques/devis (40-50%)
• Pose occasionnelle (supervision)
• Salaire : 3 000-4 000€ net + commissions (5-10% du chiffre d’affaires)
• Bonus potentiel : 2 000-6 000€ annuels selon CA

↓

Année 10+ : Création entreprise (optionnel)

• Lancement structure propre (micro-entreprise → EIRL)
• Recrutement équipe 2-5 poseurs
• Gestion commerciale + administrative
• Revenus : 4 000-8 000€/mois selon activité (très variable année 1)
• Risque : capital initial nécessaire (8 000-15 000€ minimum)

Compétences requises pour réussir en tant qu’installateur photovoltaïque

Compétences techniques indispensables

• Électricité générale : courant continu/alternatif, lecture schémas électriques, connexions sûres
• Lecture de plans : architecture toiture, implantation panneaux, cheminement câbles
• Travail en hauteur sécurisé : harnais port, lignes de vie, normes sécurité toiture, gestion vertige
• Manutention charges : porter/manipuler panneaux 20-25 kg répétés, posture ergonomique
• Outillage électrique : perceuse-visseuse, scie circulaire, multimètre, pince à sertir, outil diagnostique
• Diagnostic basique : mesurer tension courant, identifier dysfonctionnement, effectuer dépannages simples

Aptitudes physiques

• Bonne condition générale : flexibilité toiture, port charges répété, postures inconfortables
• Absence vertige : travail toiture 5-15m, pas de vertiges invalidants
• Capacité déplacement : rayon 50-100 km selon secteur, chantiers clients différents
• Résistance météo : travailler pluie/froid/chaleur (moins grave en été = saison principale)

Qualités humaines essentielles

• Rigueur stricte : respect des normes électriques/sécurité toiture (vies en jeu)
• Travail d’équipe : coordination de chantiers de 2-4 personnes, communication claire
• Relation client : courtoisie avec les propriétaires résidentiels, respect des lieux pendant la pose
• Adaptabilité : chaque toiture est différente (tuiles ou bac acier et façade), problèmes imprévisibles

Avantages et inconvénients du métier

Les véritables avantages : Installateur photovoltaïque

• ✅ Emploi absolument garanti : pénurie 10 000 installateurs, taux chômage quasi nul, CDI dans 90% cas
• ✅ Salaire décent et progression claire : 1 800€ débutant → 3 500€ senior = évolution visible 10 ans
• ✅ Métier porteur de sens écologique : contribue concrètement transition énergétique, sentiment utilité
• ✅ Variété chantiers quotidienne : pas de routine (architecture toiture différente chaque jour)
• ✅ Évolution carrière multipiste : chef équipe, technico-commercial, création entreprise all-viable
• ✅ Formation courte : CQP 5-9 mois (vs 2-3 ans Bac Pro) = accès rapide
• ✅ Métier non-délocalisable : travail local garanti, impossible externalisation Inde/Bangladesh
• ✅ Débouchés 20+ ans : transition énergétique = croissance minimum 2 décennies

Les inconvénients réalistes : Installateur photovoltaïque

• ❌ Travail physique intensif : manipulation panneaux 20-25 kg, postures inconfortables toiture, usure physique 10-15 ans
• ❌ Dépendance météo forte : pluie/vent = chantiers reportés, activité moins régulière hiver (jours courts, mauvais temps)
• ❌ Travail en hauteur obligatoire : si vertige important (peur panique à 8m) = métier inaccessible
• ❌ Variations saisonnières : hiver activité réduite à 30-40% par rapport à l’été, revenus moins réguliers (important planifier)
• ❌ Déplacements fréquents : rayon d’action 50-100 km selon secteur, pas travail sédentaire
• ❌ Risques sécurité : chutes (rare si harnais correct), chocs électriques (si électricité incorrecte), UV prolongée
• ❌ Usure physique long terme : dos, genoux, épaules = profession physique inconfortable sur 30 ans

Comment se lancer concrètement en 5 étapes ?

Étape 1 : Renseignement formation (2-3 semaines)

Démarches :

• Consultez site AFPA (afpa.fr) : recherchez « CQP Installateur solaire » par région
• Contactez GRETA local (ggreta.ac-[région].fr)
• Appelez CFA Bâtiment région
• Demandez : contenu détaillé, prochaines sessions, taux placement, débouchés entreprise

Collectez :

• Dates démarrage formations 2025-2026
• Durée exact (5-9 mois)
• Coût (gratuit si France Travail finance)
• Taux placement post-formation

Étape 2 : Financement (2-4 semaines)

Demandeurs d’emploi :

1. Contactez agence France Travail (Pôle Emploi)
2. Demandez AIF (Aide Individuelle Formation)
3. Présentez projet CQP solaire
4. Financement généralement validé (secteur pénurie = priorité État)

Salariés :

1. Consultez solde CPF (moncompteformation.gouv.fr)
2. Cherchez formations CQP éligibles CPF
3. Demande auprès organisme formation

Bonus : Demandez info POEI/POEC (formation + entreprise partenaire embauche garantie post-formation + subvention État)

Étape 3 : Inscription (1-2 semaines)

Documents préparés :

• CV récent
• Lettre motivation (2-3 paragraphes : pourquoi le solaire, objectif carrière, motivation physique/technique)
• Justificatif d’identité
• Justificatif Pôle Emploi si demandeur d’emploi

Procédure :

1. Contactez organisme formation (AFPA/GRETA) choisi
2. Déposez dossier + tests entrée (généralement QCM logique/électricité basique)
3. Entretien motivation (30 min) avec formateur
4. Validation admission (généralement accordée si motivation palpable)

Étape 4 : Formation (5-9 mois intensifs)

Semaine type :

• Lundi-vendredi 8h00-17h00 (35h/semaine)
• Matin : théorie (électricité, technologie, normes)
• Après-midi : pratique atelier (pose, câblage, tests)
• Pas d’étude intensive soir/weekend (repos important)

Milieu de formation :

• Examen intermédiaire (QCM théorie + TP pratique)
• Si passage : continuité vers stage

Fin formation :

• Stage entreprise 8-12 semaines (avril-août généralement)
• Installations réelles chez clients

Étape 5 : Embauche post-formation (2-6 semaines)

À la fin stage :

Scénario A (60% cas) : Entreprise stage propose un CDI

• Continuité directe
• Salaire négocié (généralement 1 900-2 200€ net débutant)
• CDI démarrage août-septembre

Scénario B (40% cas) : Pas d’offre stage, candidatures externes

• Candidatures PME/entreprises solaires région
• Taux de réponse excellent (pénurie = recruteurs cherchent désespérément)
• CDI trouvé généralement sous 2-4 semaines

Timing : CDI septembre 2026 typiquement dans notre scénario

Conclusion : Installateur photovoltaïque

Le métier de poseur de panneaux solaires offre des perspectives solides en France en 2025.

Avec une formation courte (CQP 5-9 mois), des débouchés exceptionnels (pénurie 10 000 installateurs, taux de chômage quasi nul) et des salaires corrects (1 800-3 500€ selon expérience), c’est une reconversion professionnelle réaliste et sécurisée.

Le secteur photovoltaïque continuera sa croissance forte sur plus de 20 années, porté par les objectifs gouvernementaux transition énergétique. Les professionnels formés aujourd’hui bénéficieront d’une employabilité garantie sur très long terme.

Si vous cherchez un métier stable, physique, non-délocalisable, porteur de sens écologique et surtout demandé, l’installation solaire photovoltaïque est une voie hautement recommandée à considérer sérieusement.

Prochaine étape

Contactez votre agence France Travail locale (anciennement Pôle Emploi) ou un centre AFPA régional pour vous renseigner sur les prochaines sessions de formation CQP Installateur Mainteneur Systèmes Solaires.

Les conseillers répondront à vos questions spécifiques et vous aideront à constituer dossier financement AIF.